Le conducteur du véhicule
Les systèmes d’aide à la conduite permettent une route plus sûre, mais en aucun cas la suppression du conducteur. Ce dernier reste l’élément essentiel.
Les aides à la conduite
Dans ce contexte il faut noter que même si l’on possède une voiture avec un système de pilotage automatique, il est interdit de d’enlever les mains du volant afin de pouvoir reprendre en main une situation dangereuse.
Plus généralement, les aides à la conduite ne remplacent pas encore le jugement du conducteur et sa capacité à agir sur les commandes du véhicule. Ces actions sont initiées par le regard et l’observation constante de l’environnement de conduite.
Le regard et la communication
Cette famille est donc principalement basée sur le regard, la communication avec les autres usagers et la maitrise du véhicule. Les savoir faire de cette famille contribuent à réduire considérablement les cacteurs de risque et donc les accidents.
Le regard et l’analyse constante de l’environnement sont la base de la conduite automobile. Rien ne sert de connaître parfaitement les règles de conduite si l’on est distrait au volant.
Les déficiences du conducteur
Toute déficience perceptive du conducteur entraîne des risques. Beaucoup de facteurs peuvent en être la cause, comme l’état de santé, les distractions, la consommation de produits psychoactifs (alcool, drogues, médicaments), la fatigue, la vue et l’audition.
Le conducteur analyse l’information et ensuite prend une décision en fonction du risque. Il est donc essentiel qu’il puisse évaluer les espaces et les distances de sécurité correctement et qu’il connaisse les différents moyens de communication.
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